Ex 295/ the truth about Momma
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Message de here4u posté le 13-03-2025 à 23:11:18 (S | E | F)
Hello dears,

Voici notre dernier extrait de la nouvelle de Joan Carol Oates. Daddy vient chercher l'enfant qui
l'attend en compagnie de Momma, qui semble nerveuse. Elle est impatiente et enthousiaste en pensant
à la journée qu'elle va passer avec son père.
Translate into French:
And then Momma leaned over me and kissed me; I loved Momma’s sweet perfume and her soft-shining
hair but I wanted to push away from her; I wanted to run to the door, to open it just as Daddy
rang the bell; I wanted to surprise Daddy who took, such happiness in being surprised; I wanted
to say to Momma I love Daddy better than I love you, let me go! Because Momma was me, but
Daddy was someone so different.
The doorbell rang. I ran to answer it. Momma remained in the front room at the window. Daddy
hoisted me into his arms, «How my Princess? How’s my Baby-Love?» and Daddy called out politely
to Momma in the other room, whom he could not see, «We’re going to the Bronx Zoo, and we’ll be
back promptly at 5.30 pm as agreed.» And Momma who was very dignified made no reply. Daddy
called out, «Goodbye! Remember us!» which was like Daddy, to say mysterious things, things to
make you smile, and to make you wonder, things to make you confused, as if maybe you hadn’t heard
correctly but didn’t want to ask. And Momma never asked. And in the elevator going down Daddy
hugged me again saying how happy we were, just the two of us. He was the King, I was the Little
Princess. Momma was the Ice Queen who never laughed. Daddy was saying this could be the happiest
day of our lives if we had courage. A light shone in Daddy’s eyes, there would never be a man so
handsome and radiant as Daddy.
Joyce Carol Oates, A Manhattan Romance.
Cet exercice est un
et sa correction sera en ligne le vendredi 28 mars 2025.
Courage ! THE FORCE is with all of us!

Message de here4u posté le 13-03-2025 à 23:11:18 (S | E | F)
Hello dears,


Voici notre dernier extrait de la nouvelle de Joan Carol Oates. Daddy vient chercher l'enfant qui
l'attend en compagnie de Momma, qui semble nerveuse. Elle est impatiente et enthousiaste en pensant
à la journée qu'elle va passer avec son père.
Translate into French:
And then Momma leaned over me and kissed me; I loved Momma’s sweet perfume and her soft-shining
hair but I wanted to push away from her; I wanted to run to the door, to open it just as Daddy
rang the bell; I wanted to surprise Daddy who took, such happiness in being surprised; I wanted
to say to Momma I love Daddy better than I love you, let me go! Because Momma was me, but
Daddy was someone so different.
The doorbell rang. I ran to answer it. Momma remained in the front room at the window. Daddy
hoisted me into his arms, «How my Princess? How’s my Baby-Love?» and Daddy called out politely
to Momma in the other room, whom he could not see, «We’re going to the Bronx Zoo, and we’ll be
back promptly at 5.30 pm as agreed.» And Momma who was very dignified made no reply. Daddy
called out, «Goodbye! Remember us!» which was like Daddy, to say mysterious things, things to
make you smile, and to make you wonder, things to make you confused, as if maybe you hadn’t heard
correctly but didn’t want to ask. And Momma never asked. And in the elevator going down Daddy
hugged me again saying how happy we were, just the two of us. He was the King, I was the Little
Princess. Momma was the Ice Queen who never laughed. Daddy was saying this could be the happiest
day of our lives if we had courage. A light shone in Daddy’s eyes, there would never be a man so
handsome and radiant as Daddy.
Joyce Carol Oates, A Manhattan Romance.
Cet exercice est un



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Réponse : Ex 295/ the truth about Momma de gerold, postée le 14-03-2025 à 11:46:42 (S | E)
Hello!
Et puis Maman s'est penchée sur moi et m'a embrassée. J'aimais le doux parfum de Maman, et ses cheveux soyeux, mais je voulais me dégager. Je voulais aller à la porte, l'ouvrir juste au moment où Papa sonnerait. Je voulais surprendre Papa qui avait tant plaisir à être surpris. Je voulais dire à Maman j'aime Papa plus que je t'aime, laisse-moi y aller ! Parce que Maman c'était moi, mais Papa c'était une autre personne. La sonnette a retenti. Maman est restée à la fenêtre dans le salon. Papa m'a prise dans ses bras, "Comment va ma Princesse ? Comment va ma Petite Chérie?" Et Papa a crié poliment à Maman, qu'il ne pouvait pas voir, car elle était dans l'autre pièce, "nous allons au Zoo du Bronx et nous serons de retour ponctuellement à cinq heures et demie, comme convenu." Et Maman, pleine de dignité, ne répondit pas. Papa dit "Au revoir ! souviens-toi de nous !", c'était bien dans le genre de Papa de dire des choses mystérieuses, des choses qui te faisaient sourire et qui t'intriguaient, des choses qui t'embrouillaient les idées, comme si tu n'avais peut-être pas bien entendu mais que tu ne voulais pas poser de questions. Et Maman ne posait jamais de questions. Et, dans l'ascenseur qui descendait, Papa me serrait de nouveau dans ses bras, en disant que nous étions si heureux, rien que nous deux. C'était le Roi et j'étais la Petite Princesse. Maman était la Reine des Glaces qui ne riait jamais. Papa disait que ça pourrait être le jour le plus heureux de notre vie si nous étions courageux. Une lueur a brillé dans les yeux de Papa, il n'y aurait jamais d'homme aussi beau et rayonnant que Papa.
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Modifié par gerold le 14-03-2025 16:22
Réponse : Ex 295/ the truth about Momma de magie8, postée le 15-03-2025 à 10:58:51 (S | E)
hello BON à Corriger MERCI
Et puis maman se pencha vers moi et m' embrassa ; j'aimais le délicieux parfum sucré de maman et ses cheveux doux et brillants, mais je voulais m'éloigner d'elle ; Je voulais courir à la porte, l'ouvrir juste au moment où papa sonnerait ; Je voulais surprendre papa qui prenait tant de plaisir à être surpris ; je voulais dire à maman : j'aime papa plus que je ne t'aime, laisse-moi partir ! Car maman, c'était moi, mais Papa, c'était quelqu'un de si différent.
On a sonné à la porte. J'ai couru pour répondre. Maman est restée dans la pièce principale, à la fenêtre. Papa me prit dans ses bras : « Comment va ma princesse ? Comment va mon Bébé d'Amour ? » et Papa appela poliment Maman qu'il ne pouvait pas voir car elle se trouvait dans l'autre pièce. : « Nous allons au zoo du Bronx, et nous serons de retour à 17h30 précises comme convenu ». Maman, resta très digne sans répondre. Papas'est écrié : « Au revoir ! Ne nous oublie pas ! », ce qui était le propre de papa, de dire des choses mystérieuses, des choses pour vous faire sourire, pour vous faire réfléchir, et vous mettre dans la confusion, comme si vous n'aviez pas bien entendu, mais que vous ne vouliez pas demander.
Et maman n'a jamais posé de questions. Et dans l'ascenseur qui descendait, Papa m'a serrée dans ses bras en me disant à quel point nous étions heureux, tous les deux. Il était le Roi, j'étais la Petite Princesse. Maman était la Reine des Glaces qui ne riait jamais. Papa disait que ce pourrait être le plus beau jour de notre vie si nous avions du courage.
Une lumière brilla dans les yeux de Papa, il n'y aurait jamais d'homme aussi beau et radieux que Papa.
Joyce Carol Oates, A Manhattan Romance.
Réponse : Ex 295/ the truth about Momma de mad14, postée le 17-03-2025 à 19:30:21 (S | E)
Hello Here4U - Here's my worK -
Et puis Momma se pencha sur moi et m’embrassa ; j’adorais son parfum suave et ses cheveux doux et brillants mais je voulais m’éloigner d’elle ; je voulais courir à la porte, l’ouvrir juste au moment où papa sonnerait ; je voulais surprendre papa qui aimait tant être surpris ; je voulais dire à Momma « J’aime papa plus que je ne t’aime toi, laisse moi partir ! » Maman c’était moi, mais papa était quelqu’un de tellement différent. La sonnette tinta. Je courus pour y répondre. Momma est restée à la fenêtre dans la pièce en face. Papa me souleva dans ses bras, » »Comment va ma princesse ? Comment va mon bébé d’amour ? » Alors papa appela poliment Momma qu’il ne pouvait pas voir, dans l’autre pièce . Nous irons au zoo Bronx, et serons de retour rapidement à 17h30 comme convenu. » Et Momma qui était très digne ne répondit pas. Papa cria « Au revoir ! Souviens-toi de nous » ! C’était à l’image de papa, dire des choses mystérieuses, des choses qui font sourire, et vous font vous interroger, des choses qui vous troublent, comme si on n’avait peut être mal entendu mais on ne voulait pas demander (de préciser). Et Momma ne demandait jamais. Dans l’ascenseur qui descendait papa me serra à nouveau dans ses bras et dit encore combien nous étions heureux, juste nous deux. C’était le Roi, j’étais la Petite Princesse. Momma était la Reine des Glaces qui ne riait jamais. Papa disait que cela pourrait être le plus joyeux jour de notre vie si nous avions du courage. Les yeux de papa brillaient, jamais il n’y aurait un homme aussi beau et radieux que papa.
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