Ôte-la
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Message de doc97 posté le 16-12-2015 à 15:49:38 (S | E | F)
Bonjour, Pouvez-vous m'aider également à corriger la deuxième partie s'il vous plaît ? Je vous remercie.
Tout au long de la route, je me mis à réfléchir à fond sur cet être destiné à me rendre la vie impossible. Il ne peut pas laisser ma conscience tranquille. C’est illogique ! Pourquoi laisse-t-il passer l’homme tranquillement ? Est-il invisible et Invincible ? Sinon, comme pourrais-je le vaincre ? Le 02 décembre. – Je m'assis sur le trottoir de ma maison, les pieds croisés, l’index replié sur ma bouche, observait attentivement ce que faisaient les passants. Je munis d’un carnet, et d’un stylo accroché dans mon collier. Je notai tout ce qui me paraissait utile pour la quête de cet embarras. J’ai vu de très belles choses : deux hommes s’assirent chacun au bord d’une rue, munirent de deux cagnottes. Concrètement, ils étaient deux mendiants. Ils restèrent depuis ce matin au même endroit, ils ne reçurent que de la poussière des camions à chaque passage. Or, il y avait bon nombre de gens qui faisait des allers-retours, des va-et-vient sur la route. Un envoyé de Dieu vint vers l’un d’entre eux, lui versa quelque chose dans sa cagnotte. Je ne savais pas combien, mais je trouve que c’est bien. Il jeta un coup d’œil à l’autre bord de la route. Il vit l’autre. Il s’approcha vers lui, et fit le même geste qu’il avait fait pour le premier. Sincèrement, à mon humble avis, c’est bien ! C’est ce qu’est un homme ! Ces mots de Laoter me vinrent tout d’un coup à l’esprit : « Si vous semez le bien, je suis sûr et certain que vous le récolterez, faites-le bien autant que possible si vous déciderez vivre une vie meilleure après la mort ». « Tout ce que tu fais, fais-le avec sagacité ». Laoter était très bon avec moi, il me dit toujours des choses bien. Avec de l’encre, je noircis déjà deux feuilles. Je feuilletais le carnet pour y accéder au troisième. J’écrivis ce titre : « L’être invisible ». Ensuite, je regardais le ciel pour que je puisse trouver des notions afin de développer ce thème. Je jetais un coup d’œil sur la feuille, elle était blanche. Oh ! Je n’ai pas trouvé la trace de l’écriture. Il l’a enlevée. Il était là, regardait tout ce que je notai sur le carnet. Il était enfin trouvé un mot qui lui déplaît. Il passait à l’action. Je me suis pris d’une colère furieuse, je déchirai le carnet. Le 17 décembre – Il n’y avait rien, mais j’ai peur. Je fléchis le genou. Et je me courbai devant sa majesté. Oh ! Mon Dieu ! Toi qui es au-dessus de tout, le grand architecte de l’univers, délivre-moi ! Aie pitié de moi ! Ô le pauvre ! Pitié ! Le 20 décembre. – Cette fois-ci, c’est vraiment intraitable, inexplicable, ce qui s’est passé ce soir. J’étais dans un profond sommeil. Je rêvais des choses extraordinaires. Je menais une vie de luxe. Je sentis tout d’un coup quelqu’un qui vînt perturber ma stabilité. À ce qu’il me paraissait, c’était « ça ». Il a fait dégringoler mes livres qui étaient si bien arrangés sur l’étagère. Il a dérangé toutes mes affaires, rentré dans mes archives, lisait tout ce que mes parents m’avaient légué. Il se vautrait sur moi, et qui, sa bouche sur la mienne, avaler ma vie sur mes lèvres. Oui, il puisait dans ma gorge. Puis, il s’est réveillé. Et moi également, je me suis réveillé, accablé, épuisé, annihilé. J’ai allumé mes bougies. Il les a éteintes. Je n’en peux plus. J’étais vraiment dans le noir. Dans le noir, j’ai vu… J’ai vu… J’ai vu. J’ai froid, très froid jusqu’au fond de mon cœur. Je regardais tout au fond de moi et je ressentis ce qui composait le fondement de mon âme s’est enfui. J’ai peur ! Vraiment peur ! Je regardais autour de moi, j’ai vu que le monde s’écroulait. Je ne fais qu’ouvrir mes grands yeux et que tourner ma tête comme une toupie. Mon âme errait dans les airs. Je n’étais plus moi-même et que, je me rendis compte que quelqu’un d’autre le possédait. C’était lui « ça » qui le possédait. Le 24 décembre. – La veille de la Noël, je dus me rendre chez Laoter parce que cela faisait des lustres que nous ne nous sommes pas vus. Je lui ai besoin surtout pour m’épauler dans ma situation. Il n’y habita pas proche d’ici. Il me faudrait quelques heures de cheval actives. À l’aurore, j’ai pris la direction nord de France. Lys-lez-Lannoy, là où fut logé mon ami Laoter. Arrivant chez lui, nous nous commençâmes une conversation ainsi : « Mon ami, il y a belles-lurettes. - Oui, cela fait longtemps mon enfant. Nous nous assîmes sur un long banc, et nous nous mîmes à causer : Comment va le courage ? - On se maintient. Et de ton côté ? - Physiquement, ça va, je marche. Je lève. Mais au niveau psychique, ça ne va pas du tout. - Qu’es-tu arrivé ? Qu’est qui s’est produit ? - Il y a environ un mois que je ne me sentais plus moi-même. Mon âme errait dans les airs. Mon ami… j’ai peur… Peur… Peur d’un esprit, je ne sais pas, je l’ai moi-même appelé « ça ». Il me rendait la vie impossible. Je ne pouvais plus aller voir me semences. Je ne pouvais écrire. Je ne pouvais traverser la rivière.
Bonne journée !
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Modifié par bridg le 17-12-2015 08:11
Ce site n'étant pas destiné à corriger vos productions personnelles, il n'y aura pas de suite à cette histoire sur les forums
Message de doc97 posté le 16-12-2015 à 15:49:38 (S | E | F)
Bonjour, Pouvez-vous m'aider également à corriger la deuxième partie s'il vous plaît ? Je vous remercie.
Tout au long de la route, je me mis à réfléchir à fond sur cet être destiné à me rendre la vie impossible. Il ne peut pas laisser ma conscience tranquille. C’est illogique ! Pourquoi laisse-t-il passer l’homme tranquillement ? Est-il invisible et Invincible ? Sinon, comme pourrais-je le vaincre ? Le 02 décembre. – Je m'assis sur le trottoir de ma maison, les pieds croisés, l’index replié sur ma bouche, observait attentivement ce que faisaient les passants. Je munis d’un carnet, et d’un stylo accroché dans mon collier. Je notai tout ce qui me paraissait utile pour la quête de cet embarras. J’ai vu de très belles choses : deux hommes s’assirent chacun au bord d’une rue, munirent de deux cagnottes. Concrètement, ils étaient deux mendiants. Ils restèrent depuis ce matin au même endroit, ils ne reçurent que de la poussière des camions à chaque passage. Or, il y avait bon nombre de gens qui faisait des allers-retours, des va-et-vient sur la route. Un envoyé de Dieu vint vers l’un d’entre eux, lui versa quelque chose dans sa cagnotte. Je ne savais pas combien, mais je trouve que c’est bien. Il jeta un coup d’œil à l’autre bord de la route. Il vit l’autre. Il s’approcha vers lui, et fit le même geste qu’il avait fait pour le premier. Sincèrement, à mon humble avis, c’est bien ! C’est ce qu’est un homme ! Ces mots de Laoter me vinrent tout d’un coup à l’esprit : « Si vous semez le bien, je suis sûr et certain que vous le récolterez, faites-le bien autant que possible si vous déciderez vivre une vie meilleure après la mort ». « Tout ce que tu fais, fais-le avec sagacité ». Laoter était très bon avec moi, il me dit toujours des choses bien. Avec de l’encre, je noircis déjà deux feuilles. Je feuilletais le carnet pour y accéder au troisième. J’écrivis ce titre : « L’être invisible ». Ensuite, je regardais le ciel pour que je puisse trouver des notions afin de développer ce thème. Je jetais un coup d’œil sur la feuille, elle était blanche. Oh ! Je n’ai pas trouvé la trace de l’écriture. Il l’a enlevée. Il était là, regardait tout ce que je notai sur le carnet. Il était enfin trouvé un mot qui lui déplaît. Il passait à l’action. Je me suis pris d’une colère furieuse, je déchirai le carnet. Le 17 décembre – Il n’y avait rien, mais j’ai peur. Je fléchis le genou. Et je me courbai devant sa majesté. Oh ! Mon Dieu ! Toi qui es au-dessus de tout, le grand architecte de l’univers, délivre-moi ! Aie pitié de moi ! Ô le pauvre ! Pitié ! Le 20 décembre. – Cette fois-ci, c’est vraiment intraitable, inexplicable, ce qui s’est passé ce soir. J’étais dans un profond sommeil. Je rêvais des choses extraordinaires. Je menais une vie de luxe. Je sentis tout d’un coup quelqu’un qui vînt perturber ma stabilité. À ce qu’il me paraissait, c’était « ça ». Il a fait dégringoler mes livres qui étaient si bien arrangés sur l’étagère. Il a dérangé toutes mes affaires, rentré dans mes archives, lisait tout ce que mes parents m’avaient légué. Il se vautrait sur moi, et qui, sa bouche sur la mienne, avaler ma vie sur mes lèvres. Oui, il puisait dans ma gorge. Puis, il s’est réveillé. Et moi également, je me suis réveillé, accablé, épuisé, annihilé. J’ai allumé mes bougies. Il les a éteintes. Je n’en peux plus. J’étais vraiment dans le noir. Dans le noir, j’ai vu… J’ai vu… J’ai vu. J’ai froid, très froid jusqu’au fond de mon cœur. Je regardais tout au fond de moi et je ressentis ce qui composait le fondement de mon âme s’est enfui. J’ai peur ! Vraiment peur ! Je regardais autour de moi, j’ai vu que le monde s’écroulait. Je ne fais qu’ouvrir mes grands yeux et que tourner ma tête comme une toupie. Mon âme errait dans les airs. Je n’étais plus moi-même et que, je me rendis compte que quelqu’un d’autre le possédait. C’était lui « ça » qui le possédait. Le 24 décembre. – La veille de la Noël, je dus me rendre chez Laoter parce que cela faisait des lustres que nous ne nous sommes pas vus. Je lui ai besoin surtout pour m’épauler dans ma situation. Il n’y habita pas proche d’ici. Il me faudrait quelques heures de cheval actives. À l’aurore, j’ai pris la direction nord de France. Lys-lez-Lannoy, là où fut logé mon ami Laoter. Arrivant chez lui, nous nous commençâmes une conversation ainsi : « Mon ami, il y a belles-lurettes. - Oui, cela fait longtemps mon enfant. Nous nous assîmes sur un long banc, et nous nous mîmes à causer : Comment va le courage ? - On se maintient. Et de ton côté ? - Physiquement, ça va, je marche. Je lève. Mais au niveau psychique, ça ne va pas du tout. - Qu’es-tu arrivé ? Qu’est qui s’est produit ? - Il y a environ un mois que je ne me sentais plus moi-même. Mon âme errait dans les airs. Mon ami… j’ai peur… Peur… Peur d’un esprit, je ne sais pas, je l’ai moi-même appelé « ça ». Il me rendait la vie impossible. Je ne pouvais plus aller voir me semences. Je ne pouvais écrire. Je ne pouvais traverser la rivière.
Bonne journée !

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Modifié par bridg le 17-12-2015 08:11
Ce site n'étant pas destiné à corriger vos productions personnelles, il n'y aura pas de suite à cette histoire sur les forums

Réponse: Ôte-la de alienor64, postée le 16-12-2015 à 19:41:05 (S | E)
Bonsoir Doc97
Soyez attentif au sens des mots ; certains sont mal employés. Relisez aussi le cours sur les temps du récit.
Tout au long de la route, je me mis à réfléchir à fond



































Réponse: Ôte-la de alienor64, postée le 16-12-2015 à 20:19:50 (S | E)
La suite :
Le 17 décembre – Il n’y avait rien, mais j’ai


































Bonne correction !

Réponse: Ôte-la de alienor64, postée le 17-12-2015 à 12:03:34 (S | E)
Bonjour dOc97
Tout au long de la route, je me mis à réfléchir profondément sur cet être destiné à me rendre la vie impossible. Il ne peut pas laisser ma conscience tranquille. C’est illogique ! Pourquoi laisse-t-il passer l’homme tranquillement ? Est-il invisible et invincible ? Sinon, comment pourrais-je le vaincre ? Le 02 décembre. – Je me suis assis sur le trottoir de













Réponse: Ôte-la de alienor64, postée le 17-12-2015 à 12:26:52 (S | E)
La suite :
Le 17 décembre – Il n’y avait rien, mais j’avais peur. Je fléchis le genou.

















Bonne correction !

Réponse: Ôte-la de alienor64, postée le 18-12-2015 à 11:01:56 (S | E)
Bonjour Doc97
Tout au long de la route, je me mis à réfléchir profondément sur cet être destiné à me rendre la vie impossible. Il ne peut pas laisser ma conscience tranquille. C’est illogique ! Pourquoi laisse-t-il passer l’homme tranquillement et me tourmente-t-il de la sorte ? Est-il invisible et invincible ? Sinon, comment pourrais-je le vaincre ? Le 02 décembre. – Je me suis assis sur le trottoir devant ma maison, les pieds croisés, l’index replié sur ma bouche, observant attentivement ce que faisaient les passants. J'ai muni










Bonne journée !
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