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Message de azeddine1 posté le 20-06-2018 à 12:42:13 (S | E | F)

Bonjour tout le monde,
Pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît, merci d’avance ?
Sur le dos de cheval, je voyageais d’un endroit à l’autre, chaque lieu cache toujours une histoire » me raconta mon grand-père. J’avais sept ans et j’aimais être avec lui, en écoutant ses aventures, je ne sentais pas de l’ennui, au contraire quand il parlait j’apprenais de leçons et de la sagesse. Ses mots valaient de l’or. Je me souviens bien, après le dîner, toute la famille se réunissait autour de lui, toujours à côté de la cheminée. C’était un beau spectacle. Ma mère nous préparait le thé et nous le buvions au moment où notre cher narrateur nous contait un nouveau conte. « Approche de moi mon petit » me dit-il et commença son histoire. Un jour, à l’aube, j’allai au nord, j’étais encore plus jeune et fort. À la route, j’avais rencontré des gens qui avaient beaucoup changés en moi. Mais ils me conseillaient de reculer et ne pas poursuivre mon chemin. Ils avaient peur, mais de qui ? Ou de quoi ? Je me posais la question. « Dans cette région, un monstre géant tua les gens » m’annonça un jeune homme pendant que ses mains tremblaient. Je décidai d’affronter mon effroi, je portai mon arme et continuai ma route. Des jours ont passé sans me croiser avec personne, avant d’arriver à une belle tribu qui se trouvait derrière une colline. J’avais été surpris, je ne sentais aucun mouvement, cet endroit était silencieux comme un cimetière. L’heure était 20h00mn, la nuit était déjà tombée et ce qui m’avait étonné en plus c’était l’absence de l’éclairage dans cette tribu, toutes les maisons n’avaient pas allumé leurs chandelles. Soudain, la nuit se transforma comme en plein jour et des gens avaient rapproché rapidement de moi et m’ordonné d’allonger par terre, je m’obéis. « Je ne suis pas un ennemi » me dis-je. Ils me mirent dans une petite cellule, j’y restais trois jours sans nourriture, je perdis conscience. Le quatrième jour, j’ouvris les yeux sur un beau visage d’une infirmière qui m’avait soigné.
« - Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née dans ce lieu et vous ?
Je suis Ali, je suis venu du sud, Pourquoi les gens de cette tribu ont peur ?
Un monstre horrible nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents
Je suis désolé, mais pourquoi vous n’avez rien fait pour le tuer ?
Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre mais malheureusement il les a tous tué
Je veux voir votre chef, j’ai un plan. »
Le lendemain et après des discussions profondes avec les habitants, je leur convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Ils n’avaient pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas de l’affronter, donc il fallait utiliser notre cerveau. Dès le matin de l’autre jour, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre la tribu et la forêt puis le cacher par des feuilles des arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point de plan était de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne qui s’éloignait beaucoup de l’embuscade. Je marchais plus de cent kilomètre sur mes pieds, je passai par des forêts et affrontai des dizaines des animaux sauvages, finalement je me trouvai face à face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je mis à courir, lui me poursuit, à un instant il m’avait saisi mais et je réussis d’échapper entre ses mains après avoir lancé une balle de mon pistolet qui endommagée son œil droit. Je passai sur le trou mais les branches des arbres ne portaient pas son poids lourd et il y tomba en lançant un bruit horrible. Tout le monde se réunit joyeusement autour le piège. Une fête s’était organisée à cette occasion.
« Et la infermière, que passe-t-elle » me demandai-je. Mon grand-père m’avait répondu avec un grand sourire, l’infermière est ta grand-mère.
Message de azeddine1 posté le 20-06-2018 à 12:42:13 (S | E | F)

Bonjour tout le monde,
Pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît, merci d’avance ?
Sur le dos de cheval, je voyageais d’un endroit à l’autre, chaque lieu cache toujours une histoire » me raconta mon grand-père. J’avais sept ans et j’aimais être avec lui, en écoutant ses aventures, je ne sentais pas de l’ennui, au contraire quand il parlait j’apprenais de leçons et de la sagesse. Ses mots valaient de l’or. Je me souviens bien, après le dîner, toute la famille se réunissait autour de lui, toujours à côté de la cheminée. C’était un beau spectacle. Ma mère nous préparait le thé et nous le buvions au moment où notre cher narrateur nous contait un nouveau conte. « Approche de moi mon petit » me dit-il et commença son histoire. Un jour, à l’aube, j’allai au nord, j’étais encore plus jeune et fort. À la route, j’avais rencontré des gens qui avaient beaucoup changés en moi. Mais ils me conseillaient de reculer et ne pas poursuivre mon chemin. Ils avaient peur, mais de qui ? Ou de quoi ? Je me posais la question. « Dans cette région, un monstre géant tua les gens » m’annonça un jeune homme pendant que ses mains tremblaient. Je décidai d’affronter mon effroi, je portai mon arme et continuai ma route. Des jours ont passé sans me croiser avec personne, avant d’arriver à une belle tribu qui se trouvait derrière une colline. J’avais été surpris, je ne sentais aucun mouvement, cet endroit était silencieux comme un cimetière. L’heure était 20h00mn, la nuit était déjà tombée et ce qui m’avait étonné en plus c’était l’absence de l’éclairage dans cette tribu, toutes les maisons n’avaient pas allumé leurs chandelles. Soudain, la nuit se transforma comme en plein jour et des gens avaient rapproché rapidement de moi et m’ordonné d’allonger par terre, je m’obéis. « Je ne suis pas un ennemi » me dis-je. Ils me mirent dans une petite cellule, j’y restais trois jours sans nourriture, je perdis conscience. Le quatrième jour, j’ouvris les yeux sur un beau visage d’une infirmière qui m’avait soigné.
« - Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née dans ce lieu et vous ?
Je suis Ali, je suis venu du sud, Pourquoi les gens de cette tribu ont peur ?
Un monstre horrible nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents
Je suis désolé, mais pourquoi vous n’avez rien fait pour le tuer ?
Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre mais malheureusement il les a tous tué
Je veux voir votre chef, j’ai un plan. »
Le lendemain et après des discussions profondes avec les habitants, je leur convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Ils n’avaient pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas de l’affronter, donc il fallait utiliser notre cerveau. Dès le matin de l’autre jour, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre la tribu et la forêt puis le cacher par des feuilles des arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point de plan était de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne qui s’éloignait beaucoup de l’embuscade. Je marchais plus de cent kilomètre sur mes pieds, je passai par des forêts et affrontai des dizaines des animaux sauvages, finalement je me trouvai face à face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je mis à courir, lui me poursuit, à un instant il m’avait saisi mais et je réussis d’échapper entre ses mains après avoir lancé une balle de mon pistolet qui endommagée son œil droit. Je passai sur le trou mais les branches des arbres ne portaient pas son poids lourd et il y tomba en lançant un bruit horrible. Tout le monde se réunit joyeusement autour le piège. Une fête s’était organisée à cette occasion.
« Et la infermière, que passe-t-elle » me demandai-je. Mon grand-père m’avait répondu avec un grand sourire, l’infermière est ta grand-mère.
Réponse : Texte de alienor64, postée le 20-06-2018 à 18:10:05 (S | E)
Bonjour azeddine1
Votre texte est long ! Commencez par corriger cette première partie ; la suite viendra plus tard.

- Les temps du récit : Lien internet
Lien internet
- La ponctuation française : Lien internet
- Accord du participe passé avec 'être' et 'avoir' : Lien internet
- Accord du participe passé avec l'auxiliaire' avoir' : Lien internet
- Les pronoms personnels toniques : Lien internet
Sur le dos de

















































Bonne correction
Réponse : Texte de azeddine1, postée le 21-06-2018 à 13:26:57 (S | E)
Bonjour Alienor
Merci pour les liens et la correction.
« A cheval, je voyageais d’un endroit à l’autre ; chaque lieu cache toujours une histoire » me racontait mon grand-père. J’avais sept ans et j’aimais être avec lui. En écoutant ses aventures, je ne ressentais pas d'ennui, bien au contraire, quand il parlait, j’apprenais des leçons et de la sagesse. Ses mots valaient de l’or. Je me souviens bien qu'après le dîner, toute la famille se réunissait autour de lui, toujours à côté de la cheminée. C’était un beau spectacle. Ma mère nous préparait le thé et nous le buvions pendant que notre cher narrateur nous contait un nouveau récit « Approche-toi de moi, mon petit » me disait-il et il commençait son histoire. « Un jour, à l’aube, j’allai au nord ; j'étais encore jeune et fort. Sur la route, j’avais rencontré des gens qui me proposaient le gîte et le couvert. Je passais avec eux des moments inoubliables et leur façon de vivre avait beaucoup changé en moi. Ils me conseillaient de faire demi-tour et de ne pas poursuivre mon chemin. Ils avaient peur, mais de qui ? Ou de quoi ? Je me posais la question. « Dans cette région, un monstre géant a tué des gens » m’annonça un jeune homme tandis que ses mains tremblaient. Je décidai de surmonter ma peur, je portai mon arme et continuai ma route. Des jours passèrent sans croiser quiconque jusqu'à que j'aille dans un beau village qui se trouvait derrière une colline. J’avais surpris, je ne remarquais aucun mouvement, cet endroit était silencieux comme un cimetière. Il était vingt heure, la nuit était déjà tombée et ce qui m’avait étonné, c’était l’absence d'éclairage dans ce village, les maisons n’avaient pas allumé leurs chandelles. Soudain, une lumière éclaira la nuit comme en plein jour et des gens se rapprochèrent rapidement de moi et m’ordonnèrent de m'allonger par terre. J'obéis. « Je ne suis pas un ennemi » me dis-je. Ils me mirent dans une petite cellule, j’y restai trois jours sans nourriture et je perdis connaissance. Le quatrième jour, j’ouvris les yeux sur le beau visage d’une infirmière qui m’avait soigné.
***
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Modifié par azeddine1 le 21-06-2018 13:31
Réponse : Texte de alienor64, postée le 21-06-2018 à 18:02:16 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Votre texte prend agréablement forme ! Vous faites du bon travail.


- La voix passive : Lien internet
«A













Bonne soirée
Réponse : Texte de azeddine1, postée le 22-06-2018 à 11:03:22 (S | E)
Bonjour alienor et merci.

« À cheval, je voyageais d'un endroit à l'autre ; chaque lieu cache toujours une histoire » me racontait mon grand-père. J'avais sept ans et j'aimais être avec lui. En écoutant ses aventures, je ne ressentais pas d'ennui, bien au contraire ; quand il parlait, j'apprenais des leçons et j'accumulais de la sagesse. Ses mots valaient de l'or. Je me souviens bien qu'après le dîner, toute la famille se réunissait autour de lui, toujours à côté de la cheminée. C'était un beau spectacle. Ma mère nous préparait le thé et nous le buvions pendant que notre cher narrateur nous contait un nouveau récit : « Approche-toi de moi, mon petit » me disait-il et il commençait son histoire. « Un jour, à l'aube, j'allai au nord ; j'étais encore jeune et fort. Sur la route, j'ai rencontré (Pourquoi P.C ? je crois qu'il utilise à l'oral) des gens qui me proposaient le gîte et le couvert. J'ai passé avec eux des moments inoubliables et leur façon de vivre avait beaucoup changé mon comportement. Ils me conseillaient de faire demi-tour et de ne pas poursuivre mon chemin. Ils avaient peur, mais de qui ? Ou de quoi ? Je me posais la question. « Dans cette région, un monstre géant a tué des gens » m'annonça un jeune homme tandis que ses mains tremblaient. Je décidai de surmonter ma peur, je portai mon arme et continuai ma route. Des jours passèrent sans croiser quiconque jusqu'à ce que je parvienne dans un beau village derrière une colline. J'avais été surpris, je ne remarquais aucun mouvement, cet endroit était silencieux comme un cimetière. Il était vingt heures, la nuit était déjà tombée et ce qui m'avait étonné, c'était l'absence d'éclairage dans ce village, les maisons n'avaient pas allumé leurs chandelles. Soudain, une lumière éclaira la nuit comme en plein jour, des gens se rapprochèrent rapidement de moi et m'ordonnèrent de m'allonger par terre. J'obéis. « Je ne suis pourtant pas un ennemi » me dis-je. Ils me mirent dans une petite cellule, j'y restai trois jours sans nourriture et je perdis connaissance. Le quatrième jour, j'ouvris les yeux sur le beau visage d'une infirmière qui m'avait soigné.
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Modifié par azeddine1 le 22-06-2018 11:07
Réponse : Texte de alienor64, postée le 22-06-2018 à 23:08:37 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Un dernier petit effort !

- Sur la route, j'ai rencontré (Pourquoi P.C ? je crois qu'

- Je me posais

- J' avais été surpris

Bonne soirée
Réponse : Texte de azeddine1, postée le 25-06-2018 à 10:03:23 (S | E)
Bonjour Alienor et merci

« À cheval, je voyageais d'un endroit à l'autre ; chaque lieu cache toujours une histoire » me racontait mon grand-père. J'avais sept ans et j'aimais être avec lui. En écoutant ses aventures, je ne ressentais pas d'ennui, bien au contraire ; quand il parlait, j'apprenais des leçons et j'accumulais de la sagesse. Ses mots valaient de l'or. Je me souviens bien qu'après le dîner, toute la famille se réunissait autour de lui, toujours à côté de la cheminée. C'était un beau spectacle. Ma mère nous préparait le thé et nous le buvions pendant que notre cher narrateur nous contait un nouveau récit : « Approche-toi de moi, mon petit » me disait-il et il commençait son histoire. « Un jour, à l'aube, j'allai au nord ; j'étais encore jeune et fort. Sur la route, j'ai rencontré des gens qui me proposaient le gîte et le couvert. J'ai passé avec eux des moments inoubliables et leur façon de vivre avait beaucoup changé mon comportement. Ils me conseillaient de faire demi-tour et de ne pas poursuivre mon chemin. Ils avaient peur, mais de qui ? Ou de quoi ? Je me posai la question. « Dans cette région, un monstre géant a tué des gens » m'annonça un jeune homme tandis que ses mains tremblaient. Je décidai de surmonter ma peur, je portai mon arme et continuai ma route. Des jours passèrent sans croiser quiconque jusqu'à ce que je parvienne dans un beau village derrière une colline. J'étais surpris, je ne remarquais aucun mouvement, cet endroit était silencieux comme un cimetière. Il était vingt heures, la nuit était déjà tombée et ce qui m'avait étonné, c'était l'absence d'éclairage dans ce village, les maisons n'avaient pas allumé leurs chandelles. Soudain, une lumière éclaira la nuit comme en plein jour, des gens se rapprochèrent rapidement de moi et m'ordonnèrent de m'allonger par terre. J'obéis. « Je ne suis pourtant pas un ennemi » me dis-je. Ils me mirent dans une petite cellule, j'y restai trois jours sans nourriture et je perdis connaissance. Le quatrième jour, j'ouvris les yeux sur le beau visage d'une infirmière qui m'avait soigné.
Bonne journée.
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Modifié par azeddine1 le 25-06-2018 10:03
Réponse : Texte de alienor64, postée le 25-06-2018 à 11:17:14 (S | E)
Bonjour azeddine1
Votre texte est à présent très correct

jusqu'à ce que je
Bonne continuation

Réponse : Texte de azeddine1, postée le 25-06-2018 à 12:53:59 (S | E)
Merci pour toi Alienor, mais il reste encore la deuxième partie.
Réponse : Texte de alienor64, postée le 25-06-2018 à 18:00:50 (S | E)
Oui, azeddine1 ! Passons alors à la suite de cette histoire.


- Lien internet
- Accord du participe passé avec l'auxiliaire 'avoir' : Lien internet
- Les pronoms personnels compléments d'objet : Lien internet
- Les pronoms relatifs : Lien internet
- Actif/passif : Lien internet
« -(Enlevez ce tiret, les guillemets suffisent) Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née dans ce lieu












Le lendemain et après des discussions profondes





































« Et la infermière




Bonne correction
Réponse : Texte de azeddine1, postée le 26-06-2018 à 12:36:10 (S | E)
Bonjour alienor, merci beaucoup pour cette belle correction.
« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je suis venu du sud. Pourquoi les gens de ce village ont-ils peur ?
« Un monstre horrible nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents.»
- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres sur pieds nus, je passai par des forêts et affrontai des dizaines d'animaux sauvages ; finalement je me trouvai face-à-face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je me mis à courir, lui me poursuivait... dans un instant, il me saisit mais je réussis à lui échapper après avoir tiré une balle par mon pistolet qui endommagea son œil droit. Tout à coup, j'aperçus notre piège. Je lançai un coup d'oeil pour m'assurer que la proie me poursuivit toujours. Je réussis à passer rapidement et légèrement sur l'embuscade mais les branches d'arbres ne supportèrent pas son poids et il y tomba en poussant un cri horrible. Par conséquent, tout le monde se réunit joyeusement autour du piège. Une fête fut organisée à cette occasion.
« Et l'infirmière, où est passé ? » me demandai-je. Mon grand-père me répondit avec un grand sourire : « l’infirmière est ta grand-mère ».
*******
" j'ai commis plusieurs erreurs, donc mon niveau est encore faible. "
merci beaucoup.
***
Réponse : Texte de alienor64, postée le 26-06-2018 à 15:26:21 (S | E)
Bonjour aezddine1
C'est beaucoup mieux !


- Lien internet
« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je suis venu

« Un monstre horrible nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents.»
- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres (virgule) sur(enlever) pieds nus, je passai par des forêts et affrontai des dizaines d'animaux sauvages ; finalement je me trouvai face-à-face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je me mis à courir, lui me poursuivait... dans









« Et l'infirmière, où est passé



*******
" j'ai commis plusieurs erreurs, donc mon niveau est encore faible. " Rassurez-vous ! Nous apprenons toujours de nos erreurs. Elles nous font avancer et vous faites d'indéniables progrès.
Bonne journée

Réponse : Texte de azeddine1, postée le 27-06-2018 à 13:03:15 (S | E)
Bonjour alienor et merci pour l'encouragement, la correction et les liens, car j'ai un problème avec les pronoms relaifs, les prépositions, les conjonctions et les P.P.C.O indirect.
« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je viens du sud. Pourquoi les gens de ce village ont-ils peur ?
« Un monstre horrible nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents.»
- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres, pieds nus, je passai par des forêts et affrontai des dizaines d'animaux sauvages ; finalement je me trouvai face-à-face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je me mis à courir, lui me poursuivait...en un instant, il me saisit mais je réussis à lui échapper après avoir tiré d'une balle avec mon pistolet qui endommagea son œil droit. Tout à coup, j'aperçus notre piège. Je lançai un coup d'œil pour m'assurer que la proie me poursuivait toujours. Je réussis à passer rapidement et légèrement sur l'embuscade mais les branches d'arbres ne supportèrent pas son poids et il y tomba en poussant un cri horrible. Alors, tout le monde se réunit joyeusement autour du piège. Une fête fut organisée à cette occasion.
« Et l'infirmière, où est-elle passé ? » demandai-je. Mon grand-père me répondit avec un grand sourire : « L’infirmière est ta grand-mère ».
Merci.
*******
***
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Modifié par azeddine1 le 27-06-2018 13:03
Réponse : Texte de alienor64, postée le 27-06-2018 à 15:16:36 (S | E)
Bonjour azeddine1
Il ne reste que peu d'erreurs ; voyez vous-même !

« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je viens du sud. Pourquoi les gens de ce village ont-ils peur ?
« Un monstre horrible

- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres, pieds nus, je passai par


« Et l'infirmière, où est-elle passé

Bonne journée

Réponse : Texte de azeddine1, postée le 27-06-2018 à 16:19:09 (S | E)
Merci beaucoup Alienor
« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je viens du sud. Pourquoi les gens de ce village ont-ils peur ?
« Un horrible monstre nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents.»
- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres, pieds nus, je traversai des forêts et affrontai des dizaines d'animaux sauvages ; finalement je me trouvai face-à-face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je me mis à courir, lui me poursuivait... en un instant, il me saisit mais je réussis à lui échapper après avoir tiré avec mon pistolet une balle qui endommagea son œil droit. Tout à coup, j'aperçus notre piège. Je lançai un coup d'œil pour m'assurer que la proie me poursuivait toujours. Je réussis à passer rapidement et légèrement sur l'embuscade mais les branches d'arbres ne supportèrent pas son poids et il y tomba en poussant un cri horrible. Alors, tout le monde se réunit joyeusement autour du piège. Une fête fut organisée à cette occasion.
« Et l'infirmière, où est-elle passée ? » demandai-je. Mon grand-père me répondit avec un grand sourire : « L’infirmière est ta grand-mère ».

Bonne journée
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Modifié par azeddine1 le 27-06-2018 16:19
Réponse : Texte de alienor64, postée le 27-06-2018 à 18:32:01 (S | E)
Bonsoir azeddine1
Après cette modification, votre texte sera complètement correct.

Je lançai un coup d'œil pour m'assurer que la proie


Bonne continuation

Réponse : Texte de azeddine1, postée le 27-06-2018 à 23:38:41 (S | E)
Bonsoir Alienor et merci beaucoup beaucoup.
« Bonjour, je m’appelle Sonia, je suis née ici et vous ?
- Je suis Ali, je viens du sud. Pourquoi les gens de ce village ont-ils peur ?
« Un horrible monstre nous attaque depuis dix ans, il a tué mes parents.»
- Je suis désolé, mais pourquoi n'avez-vous rien fait pour le tuer ?
« Depuis un an, notre président a chargé une équipe de vingt combattants d’aller à la recherche de ce monstre, mais malheureusement il les a tous tués.»
- Je veux voir votre chef, j’ai un plan.
Le lendemain et après des discussions approfondies avec les habitants, je les convainquis de tendre une embuscade pour piéger cet ennemi. Nous n'avions pas d’autre solution puisque notre force ne suffisait pas pour l’affronter ; il fallait donc utiliser notre cerveau. Dès le lendemain matin, tout le monde se mit au travail pour creuser un grand trou entre le village et la forêt, puis le dissimuler par des feuilles d'arbres. Nous avions réussi après un mois d’effort, le deuxième point du plan étant de faire diriger la proie vers le piège. Je sortis volontiers pour effectuer cette dernière mission. La grotte du monstre se trouvait au sommet d’une montagne très éloignée de l’embuscade. Je marchai plus de cent kilomètres, pieds nus, je traversai des forêts et affrontai des dizaines d'animaux sauvages ; finalement je me trouvai face-à-face avec le monstre, c’était la première fois que je le voyais. Oh ! Mon Dieu ! Quel géant ! Qu’il est horrible ! Je me mis à courir, lui me poursuivait... en un instant, il me saisit mais je réussis à lui échapper après avoir tiré avec mon pistolet une balle qui endommagea son œil droit. Tout à coup, j'aperçus notre piège. Je lançai un coup d'œil pour m'assurer que cette affreuse créature me poursuivait toujours. Je réussis à passer rapidement et légèrement sur l'embuscade mais les branches d'arbres ne supportèrent pas son poids et elle y tomba en poussant un cri horrible. Alors, tout le monde se réunit joyeusement autour du piège. Une fête fut organisée à cette occasion.
« Et l'infirmière, où est-elle passée ? » demandai-je. Mon grand-père me répondit avec un grand sourire : « L’infirmière est ta grand-mère ».
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Réponse : Texte de alienor64, postée le 28-06-2018 à 08:23:49 (S | E)
Bonjour azeddine1
et Bravo !


Bonne continuation

Réponse : Texte de azeddine1, postée le 28-06-2018 à 10:17:05 (S | E)
Bonjour Alienor



Réponse : Texte de alienor64, postée le 28-06-2018 à 23:00:42 (S | E)
Avec plaisir, azeddine1

Réponse : Texte de fanouche, postée le 30-06-2018 à 08:32:10 (S | E)
Voici la correcection j'espere que je n'ai pas oublié des erreurs

Réponse : Texte de alienor64, postée le 30-06-2018 à 10:55:40 (S | E)
Bonjour fanouche
De quelles 'erreurs oubliées' parlez-vous ? Je ne comprends pas le but de votre intervention car vous n'avez pas participé à la correction du texte d'azeddine1.

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