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Message de gls posté le 06-03-2018 à 11:54:44 (S | E | F)
Bonjour pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
Je passai mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père posséda un grand terrain où il semait le blé et l’orge. Notre vie était heureuse. Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine à la nature. J’avais aimé les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement de lait frais et de beurre naturel. Même les légumes l’on n’acheta pas du souk, on en avait les miennes, tout était bio. Mon père était fier et rassurant car la récolte serait bonne cette année, je me souvins sa mine délivrée de sa joie. « Cette saison, je vais payer toutes mes dettes » déclara mon père. Après le diner, je regagnai mon lit pour dormir, à l’époque il n’y avait ni télévision ni électricité, je regardai par la fenêtre la lune qui était pleine, j’éteignis la bougie à deux heure du matin. Soudain, j’entendis des bruits en dehors de la maison, ma mère cria et demanda au secours, quand je sortis, je trouvai la nuit s’échangea au jour à cause de feu. Le malheur s’abattit sur nous. Avant trois jours de moisson, quelqu’un brula toute la récolte de saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous porter aide mais leur action n’avait pas donné aucun résultat. Mon père avait tout fait pour l’étouffer, il ne voulut pas croire qu’aucun miracle n’empêcherait ses rêves de partir en fumée, il ne cessa qu’avec le lever du soleil. Le lendemain, les créanciers viendraient chez nous, mon père signa quelques papiers et ordonna ma mère à ramasser nos ameublements. Je n’avais jamais vu mon père dans cette situation d’inquiétude et de chagrin. Nous montâmes dans la charrette, mon père ne parla à personne, ma mère n’osa pas lui dire aucun mot, lui, mon frère, ma sœur et moi ignorâmes notre destination. Nous quittâmes notre maison et nos souvenirs, nous perdîmes notre bien. Je jetai un coup d’œil à mon père, son visage était triste, il était déçu. « J’ai fais tous mes efforts, c’est le destin » dit mon père. « Mais ne vous inquiétez pas, je suis capable de remonter la pente, je ne suis pas des gens qui cèdent, je repars à zéro » continua t-il en me regardant aux yeux. Au bout de quelques jours nous arrivâmes à Casablanca, nous étions complètement épuisés. Mon père vendit notre charrette pour avoir quelques dirhams. J’étais ébloui de la beauté de cette ville, de ses grandes maisons, de la propreté de ses rues. Les gens portaient des vêtements différents des nôtre. Mon père loua une chambre qui était sordide pour toute la famille. Il n’y avait pas de l’argent suffisant pour nous habiter aux bonnes conditions, l’essentiel était de se protéger dans un endroit quelconque. « Je vais travailler par la force de mes mains et je vous promis qu’après quelques mois, on aurait notre propre maison avec un jardin magnifique » dit mon père. J’eus confiance à mon père et je sus qu’il ferait l’impossible pour nous. Mon père entra tard à la maison, il travaillait du l’aube jusqu’au minuit, il était fatigué. Ma mère était belle et avait les cheveux longs et noirs. Il aimait beaucoup mon père. « A force de forger on devient forgeron », un jour mon père vint avec une bonne nouvelle : « j’ai acheté une maison dans un quartier propre » ma sœur, mon frère, ma mère et moi sautions de joie. En fin, notre vie serait agréable.
Message de gls posté le 06-03-2018 à 11:54:44 (S | E | F)
Bonjour pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
Je passai mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père posséda un grand terrain où il semait le blé et l’orge. Notre vie était heureuse. Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine à la nature. J’avais aimé les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement de lait frais et de beurre naturel. Même les légumes l’on n’acheta pas du souk, on en avait les miennes, tout était bio. Mon père était fier et rassurant car la récolte serait bonne cette année, je me souvins sa mine délivrée de sa joie. « Cette saison, je vais payer toutes mes dettes » déclara mon père. Après le diner, je regagnai mon lit pour dormir, à l’époque il n’y avait ni télévision ni électricité, je regardai par la fenêtre la lune qui était pleine, j’éteignis la bougie à deux heure du matin. Soudain, j’entendis des bruits en dehors de la maison, ma mère cria et demanda au secours, quand je sortis, je trouvai la nuit s’échangea au jour à cause de feu. Le malheur s’abattit sur nous. Avant trois jours de moisson, quelqu’un brula toute la récolte de saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous porter aide mais leur action n’avait pas donné aucun résultat. Mon père avait tout fait pour l’étouffer, il ne voulut pas croire qu’aucun miracle n’empêcherait ses rêves de partir en fumée, il ne cessa qu’avec le lever du soleil. Le lendemain, les créanciers viendraient chez nous, mon père signa quelques papiers et ordonna ma mère à ramasser nos ameublements. Je n’avais jamais vu mon père dans cette situation d’inquiétude et de chagrin. Nous montâmes dans la charrette, mon père ne parla à personne, ma mère n’osa pas lui dire aucun mot, lui, mon frère, ma sœur et moi ignorâmes notre destination. Nous quittâmes notre maison et nos souvenirs, nous perdîmes notre bien. Je jetai un coup d’œil à mon père, son visage était triste, il était déçu. « J’ai fais tous mes efforts, c’est le destin » dit mon père. « Mais ne vous inquiétez pas, je suis capable de remonter la pente, je ne suis pas des gens qui cèdent, je repars à zéro » continua t-il en me regardant aux yeux. Au bout de quelques jours nous arrivâmes à Casablanca, nous étions complètement épuisés. Mon père vendit notre charrette pour avoir quelques dirhams. J’étais ébloui de la beauté de cette ville, de ses grandes maisons, de la propreté de ses rues. Les gens portaient des vêtements différents des nôtre. Mon père loua une chambre qui était sordide pour toute la famille. Il n’y avait pas de l’argent suffisant pour nous habiter aux bonnes conditions, l’essentiel était de se protéger dans un endroit quelconque. « Je vais travailler par la force de mes mains et je vous promis qu’après quelques mois, on aurait notre propre maison avec un jardin magnifique » dit mon père. J’eus confiance à mon père et je sus qu’il ferait l’impossible pour nous. Mon père entra tard à la maison, il travaillait du l’aube jusqu’au minuit, il était fatigué. Ma mère était belle et avait les cheveux longs et noirs. Il aimait beaucoup mon père. « A force de forger on devient forgeron », un jour mon père vint avec une bonne nouvelle : « j’ai acheté une maison dans un quartier propre » ma sœur, mon frère, ma mère et moi sautions de joie. En fin, notre vie serait agréable.
Réponse : Texte de bernard02, postée le 06-03-2018 à 12:30:44 (S | E)
Bonjour.
Je vous ai déjà repéré quelques fautes dans la 1re partie de votre texte. Je regarderai la fin cet après-midi.
Je




























Bon courage !
Réponse : Texte de gls, postée le 06-03-2018 à 16:27:01 (S | E)
Bonsoir bernard et merci
“J'avais aimè“ est conjuguè au plus que parfait et non au passé composé comme tu as dit.
Réponse : Texte de bernard02, postée le 06-03-2018 à 21:23:46 (S | E)
Bonsoir.
Effectivement, j'ai fait une grosse erreur d'inattention en écrivant que "J'avais aimè" était du passé composé, car c'est bien du plus-que-parfait (mais avec deux traits d'union) !

En revanche, en contexte, le plus-que-parfait ne me paraît pas plus approprié que le passé composé !

Je n'ai pas pu regarder le reste du texte jusqu'à présent, car j'ai été plus accaparé que prévu, je m'en occuperai dès que possible (ce soir ou demain), mais ne vous inquiétez pas, il y aura sûrement d'autres personnes que moi pour vous aider !
Bonne soirée !
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Modifié par bernard02 le 06-03-2018 21:24
Réponse : Texte de gls, postée le 07-03-2018 à 13:17:08 (S | E)
Bonsoir bernard et merci beaucoup
Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse. Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions eu des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais eu mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement du lait frais et du beurre naturel. On n’achetait pas des légumes du souk, on avait les miennes , tout était bio. Mon père était fier et rassurant, car la récolte était bonne cette année-là, je me souviens sa mine délivrée de sa joie. « Cette saison, je vais régler toutes mes dettes » déclara mon père. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, à l’époque il n’y avait ni télévision ni électricité, je regardais par la fenêtre la pleine lune, j’éteignis la bougie à deux heures du matin. Soudain, j’entendis des bruits en dehors de la maison, ma mère cria et appela au secours, quand je sortis, je trouvai la nuit s’échangea au jour, la lumière du feu remplit le village. Le malheur s’abattit sur nous. Avant trois jours de moisson,
quelqu’un brûla toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous porter aide, mais leur action n’avait donné aucun résultat.
Merci.
***
Réponse : Texte de bernard02, postée le 07-03-2018 à 15:15:03 (S | E)
Bonjour.
Voici quelques points à revoir dans votre dernière réponse (repérés avec




Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père
















quelqu’un brûla toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous

Merci.
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Modifié par bernard02 le 07-03-2018 15:15
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Modifié par bernard02 le 07-03-2018 15:16
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Modifié par bernard02 le 07-03-2018 15:18
Réponse : Texte de bernard02, postée le 07-03-2018 à 16:37:15 (S | E)
Dernière partie de votre texte (mêmes repères que lors de mon dernier envoi) :
Mon père






































Bon courage...
Réponse : Texte de gls, postée le 08-03-2018 à 11:16:37 (S | E)
Bonjour Bernard et merci beaucoup. Je vais focaliser mon attention sur la première partie.
Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous eûmes eu des vaches, des chèvres, des volailles, j’eus eu mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement du lait frais et du beurre naturel. On n’achetait même pas de légume du souk, on avait le sien, tout était bio. Mon père était fier et rassurant, car la récolte était bonne cette année-là, je me souviens de sa mine délivrée de son sourrire m'apaisait. « Cette saison, je vais régler toutes mes dettes » déclara mon père.
A l'époque il n'y avait ni télévision ni électricité. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, je regardais par la fenêtre la lune pleine et j’éteignais la bougie à deux heures du matin. Dans une nuit calme, après avoir dormi, j’entendis des bruits en dehors de la maison, notre chien hurlait et ma mère cria et appela au secours, quand je sortis, la nuit était éclairée comme en plein jour. Le malheur s’abattit sur nous. A trois jours du début des moissons,
quelqu’un brûla toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous aider, mais leur action n’avait donné aucun résultat.
Merci.
**
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Modifié par gls le 08-03-2018 11:22
Réponse : Texte de bernard02, postée le 08-03-2018 à 12:02:19 (S | E)
Bonjour.
C'est beaucoup mieux pour cette 1re partie de votre texte, mais il reste encore ces quelques points à revoir :
Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous








A l'époque



quelqu’un


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Modifié par bernard02 le 08-03-2018 12:04
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Modifié par bernard02 le 08-03-2018 12:08
Réponse : Texte de gls, postée le 08-03-2018 à 16:27:47 (S | E)
Bonjour Brnard.
Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions (je préfère le plus-que-parfait car c'est une action antérieure nous avions... avant le drame, avant le feu ) des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement du lait frais et du beurre naturel. Nous n’achetions pas de légumes du souk, nous avions les nôtre, tout était bio. Mon père était fier et rassurant, car la récolte était bonne cette année-là, je me souviens de son sourire montrait sur sa mine ! « Cette saison, je vais régler toutes mes dettes » déclara mon père.
A l'époque, il n'y avait ni télévision ni électricité. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, je regardais par la fenêtre la pleine lune et j’éteignais la bougie à deux heures du matin. A une nuit calme, après avoir dormi, j’entendis des bruits en dehors de la maison, notre chien hurlait et ma mère cria et appela au secours, quand je sortis, la nuit était éclairée comme en plein jour. Le malheur s’abattit sur nous. A trois jours du début des moissons, quelqu’un avait brûlé toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille avaient évaporés. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous aider, mais leur action n’avait donné aucun résultat.
***
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Modifié par gls le 09-03-2018 09:44
Réponse : Texte de bernard02, postée le 09-03-2018 à 14:50:07 (S | E)
Bonjour.
Il y a encore quelques points à revoir dans votre réponse concernant la 1re partie du texte (repérés avec

Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions



A l'époque, il n'y avait ni télévision ni électricité. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, je regardais






Lien internet
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Modifié par bernard02 le 09-03-2018 15:02
Réponse : Texte de bernard02, postée le 09-03-2018 à 15:06:18 (S | E)
N'oublions pas de traiter la 2e et dernière partie, mais ensuite !

Réponse : Texte de gls, postée le 09-03-2018 à 16:32:16 (S | E)
Bonjour Bernard et merci beaucoup sur la correction et le lien.
Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement du lait frais et du beurre naturel. Nous n’achetions pas de légumes du souk, nous avions le nôtre, tout était bio. Mon père était fier et rassurant, car la récolte était bonne cette année-là, je me souviens de son visage souriant ! Cette saison, je vais régler toutes mes dettes » déclara mon père.
A l'époque, il n'y avait ni télévision ni électricité. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, je regardais la pleine lune par la fenêtre et j’éteignais la bougie à deux heures du matin. Durant une nuit calme, après avoir dormi, j’entendis des bruits à l'extérieur de la maison, notre chien hurlait et ma mère cria et appela au secours. Quand je sortis, la nuit était claire comme en plein jour. Le malheur s’abattit sur nous. A trois jours du début des moissons, quelqu’un avait brûlé toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille s'étaient disparus. Les villageois et leurs enfants étaient sur place pour nous aider, mais leur action n’avait donné aucun résultat.
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Pour la deuxième partie, je vais entamer sa correction une fois retourné chez moi j'ai un déplacement de service.
Merci beaucoup.
Réponse : Texte de bernard02, postée le 09-03-2018 à 19:58:42 (S | E)
Bonsoir.
C'est très bien, je n'ajouterai que ceci :
Bonjour Bernard et merci beaucoup

Je passais mon enfance à la campagne avec mes parents. Mon père possédait un grand terrain où il semait du blé et de l’orge. Que notre vie était heureuse ! Je jouais avec mon frère cadet et ma sœur benjamine dans la nature. J’aimais les montagnes, les plaines et le gazouillis des oiseaux. Nous avions des vaches, des chèvres, des volailles, j’avais mon cheval personnel qui était noir et fort. Ma mère nous préparait quotidiennement du lait frais et du beurre naturel. Nous n’achetions pas de légumes du souk, nous avions


A l'époque, il n'y avait ni télévision ni électricité. Après le dîner, je regagnais mon lit pour dormir, je regardais la pleine lune par la fenêtre et j’éteignais la bougie à deux heures du matin. Durant une nuit calme, après avoir dormi, j’entendis des bruits à l'extérieur de la maison, notre chien hurlait et ma mère cria et appela au secours. Quand je sortis, la nuit était claire comme en plein jour. Le malheur s’abattit sur nous. A trois jours du début des moissons, quelqu’un avait brûlé toute la récolte de la saison, tous les rêves et les espoirs de ma famille

Pour la deuxième partie, je vais entamer sa

Merci beaucoup.
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