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Traduction de texte en espagnol

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Traduction de texte en espagnol
Message de ded4239 posté le 20-01-2020 à 16:20:27 (S | E | F)
Bonjour, je recherche une correction de ma traduction de texte en espagnol. Par avance merci.

Le vent de la haine.

Une fois de plus, le cauchemar était là. Je me trouvais, comme d'habitude, assise sur cette inconfortable chaise en métal, et ils étaient autour de moi. Ils me harcelaient sans répit, sans interruption, ils criaient dans mes oreilles, tapaient du poing sur le bureau, s'impatientaient. Recroquevillée sur mon siège,étourdie de fatigue, j'éprouvais une angoisse sans nom, qui peu à peu se muait en terreur. Je serrais les dents pour les empêcher de claquer, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Alors venait l'horrible suite, toujours la même, ils se mettaient à me frapper ; les coups pleuvaient sur moi, durs, impitoyables, et la douleur me faisait hurler.
C'étaient mes cris qui me réveillaient. Je me retrouvais chaque fois dans mon lit, haletante, en sueur, mais la terreur ne se dissipait pas tout de suite. Il me fallait du temps pour me calmer, pour me rendre compte que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'ils n'étaient plus là, que maintenant j'étais en sécurité et ne craignais plus rien. Mais je savais que ce rêve me poursuivrait jusqu'à la fin de mes jours, qu'il ne me laisserait jamais en paix. Je savais qu'ils avaient détruit mon équilibre, et ma vie
Avant leur arrivée, j'étais heureuse. Mais ils avaient également anéanti mon bonheur. Et cela, je ne le leur pardonnerais jamais. Antoine et Julie n'ont cessé de me répéter qu'il faillait essayer d'oublier, qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur. Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.


El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba allí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en las orejas, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por cansancio, sentía una angostia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañeteen, y estaba incapaz de contestar sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta que sólo estaba un sueño malo, que ya no estaban allí, que ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba de nada. Pero sabía que aquello sueño me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio, y mi vida.
Antes de su llegada, estaba feliz, Sabía que habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso, nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no estaba bueno de vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo yo podría ? Habían introducido el horror en mi existencia hasta entonces hecha de sol y de alegria. La habían transformado en una pesadilla viva, y después en desesperanza oscura , y por fin una monotonía apagada que siempre duraría.


Réponse : Traduction de texte en espagnol de frasquito, postée le 20-01-2020 à 19:56:07 (S | E)
J'ai simplement placé en bleu ce qui me parait à revoir.
C'est pas mal mais révisez SER et ESTAR.

Cdlt,

Frasquito

El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba allí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en las orejas, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por articlecansancio, sentía una angostia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañeteen, y estaba incapaz de contestar prépositionsus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta que sólo estaba un sueño malo je suggère pesadilla à la place des 2mots, que ya no estaban allí, que ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba de nada. Pero sabía que aquello sueño pesadilla c'est mieux me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio, y mi vida.
Antes de su llegada, estaba feliz, Sabía que habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso, nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no estaba bueno de vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo yo podría ? Habían introducido el horror en mi existencia hasta entonces hecha de sol y de alegria. La habían transformado en una pesadilla viva, y después en desesperanza oscura , y por fin préposition una monotonía apagada que siempre duraría.



Réponse : Traduction de texte en espagnol de andre40, postée le 20-01-2020 à 20:05:36 (S | E)
Bonsoir ded4239.
Le vent de la haine.

Une fois de plus, le cauchemar était là. Je me trouvais, comme d'habitude, assise sur cette inconfortable chaise en métal, et ils étaient autour de moi. Ils me harcelaient sans répit, sans interruption, ils criaient dans mes oreilles, tapaient du poing sur le bureau, s'impatientaient. Recroquevillée sur mon siège,étourdie de fatigue, j'éprouvais une angoisse sans nom, qui peu à peu se muait en terreur. Je serrais les dents pour les empêcher de claquer, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Alors venait l'horrible suite, toujours la même, ils se mettaient à me frapper ; les coups pleuvaient sur moi, durs, impitoyables, et la douleur me faisait hurler.
C'étaient mes cris qui me réveillaient. Je me retrouvais chaque fois dans mon lit, haletante, en sueur, mais la terreur ne se dissipait pas tout de suite. Il me fallait du temps pour me calmer, pour me rendre compte que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'ils n'étaient plus là, que maintenant j'étais en sécurité et ne craignais plus rien. Mais je savais que ce rêve me poursuivrait jusqu'à la fin de mes jours, qu'il ne me laisserait jamais en paix. Je savais qu'ils avaient détruit mon équilibre, et ma vie
Avant leur arrivée, j'étais heureuse. Mais ils avaient également anéanti mon bonheur. Et cela, je ne le leur pardonnerais jamais. Antoine et Julie n'ont cessé de me répéter qu'il faillait essayer d'oublier, qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur cœur. Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée erreur en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.


El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba allí erreur. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en las orejas, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida(ou,acurrucada) en mi asiento, aturdida por cansancio, sentía una angostia erreur sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañeteen erreur, y estaba autre verbe incapaz de contestar préposition sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta que sólo sans accent maintenant estaba idem* un sueño malo, que ya no estaban allí erreur, que ahora estaba idem a salvo y ya no arriesgaba de nada. Pero sabía que aquello sueño me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio, y mi vida.
Antes de su llegada, estaba idem feliz,point Sabía que habían pas conforme au texte français igualmente destruido mi felicidad. Y eso, nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no estaba bueno de vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo yo pas nécessaire podría ? Habían introducido el horror en mi existencia hasta entonces hecha de sol y de alegria. La habían transformado en una pesadilla viva, y después en desesperanza oscura , y por fin préposition una monotonía apagada que siempre duraría.

Bonne soirée.



Réponse : Traduction de texte en espagnol de ded4239, postée le 21-01-2020 à 16:50:17 (S | E)
Le vent de la haine.

Une fois de plus, le cauchemar était là. Je me trouvais, comme d'habitude, assise sur cette inconfortable chaise en métal, et ils étaient autour de moi. Ils me harcelaient sans répit, sans interruption, ils criaient dans mes oreilles, tapaient du poing sur le bureau, s'impatientaient. Recroquevillée sur mon siège,étourdie de fatigue, j'éprouvais une angoisse sans nom, qui peu à peu se muait en terreur. Je serrais les dents pour les empêcher de claquer, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Alors venait l'horrible suite, toujours la même, ils se mettaient à me frapper ; les coups pleuvaient sur moi, durs, impitoyables, et la douleur me faisait hurler.
C'étaient mes cris qui me réveillaient. Je me retrouvais chaque fois dans mon lit, haletante, en sueur, mais la terreur ne se dissipait pas tout de suite. Il me fallait du temps pour me calmer, pour me rendre compte que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'ils n'étaient plus là, que maintenant j'étais en sécurité et ne craignais plus rien. Mais je savais que ce rêve me poursuivrait jusqu'à la fin de mes jours, qu'il ne me laisserait jamais en paix. Je savais qu'ils avaient détruit mon équilibre, et ma vie
Avant leur arrivée, j'étais heureuse. Mais ils avaient également anéanti mon bonheur. Et cela, je ne le leur pardonnerais jamais. Antoine et Julie n'ont cessé de me répéter qu'il faillait essayer d'oublier, qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur. Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.


El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba aquí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en las orejas, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por el cansancio, sentía una angustia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañeteen, y era incapaz de contestar a sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta que solo era un sueño malo, que ya no estaban aquí, que ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba nada. Pero sabía que aquella pesadilla me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio, y mi vida.
Antes de su llegada, era feliz. Pero habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso, nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no era bueno vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo podría ? Habían introducido el horror en mi existencia hasta entonces hecha de sol y de alegria. La habían transformado en una pesadilla viva, y después en desesperanza oscura , y por fin en una monotonía apagada que siempre duraría.

Merci à tous
P.S. : Avec "a salvo" je pense qu'il faut conserver le verbe "estar"



Réponse : Traduction de texte en espagnol de leserin, postée le 22-01-2020 à 18:00:33 (S | E)
Bonsoir.

El viento del odio.
Una vez más, la pesadilla estaba aquí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y ajoutez le sujet estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción, me gritaban en las orejas autre traduction pour "oreilles", daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por el cansancio, sentía una angustia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañeteen l'imparfait du subjonctif, y era incapaz de contestar a sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis gritos ajoutez un article (antécédent : gritos) que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. ajoutez le pronom comme en français hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta il faut une préposition (1) que solo era un sueño malo c'est correct, mais peut-être, "mal sueño", la même préposition (1) que ya no estaban aquí, que à enlever ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba nada. Pero sabía que aquella pesadilla me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz. Sabía que habían destruido mi equilibrio,sans virgule y mi vida.
Antes de su llegada, sujet era feliz. Pero habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso,sans virgule nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no era bueno vivir con tanto odio en el corazón. ¿Pero cómo podría précisez, ajoutez un verbe ? Habían introducido el horror en mi existenciavirgule hasta entonces hecha de sol y de alegria accent. La habían transformado en una pesadilla viva, y à enlever después en desesperanza oscura, y por fin finalmente en una monotonía apagada que siempre duraría.

1. Darse cuenta de algo.
Cordialement.




Réponse : Traduction de texte en espagnol de ded4239, postée le 24-01-2020 à 11:15:14 (S | E)
Le vent de la haine.

Une fois de plus, le cauchemar était là. Je me trouvais, comme d'habitude, assise sur cette inconfortable chaise en métal, et ils étaient autour de moi. Ils me harcelaient sans répit, sans interruption, ils criaient dans mes oreilles, tapaient du poing sur le bureau, s'impatientaient. Recroquevillée sur mon siège,étourdie de fatigue, j'éprouvais une angoisse sans nom, qui peu à peu se muait en terreur. Je serrais les dents pour les empêcher de claquer, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Alors venait l'horrible suite, toujours la même, ils se mettaient à me frapper ; les coups pleuvaient sur moi, durs, impitoyables, et la douleur me faisait hurler.
C'étaient mes cris qui me réveillaient. Je me retrouvais chaque fois dans mon lit, haletante, en sueur, mais la terreur ne se dissipait pas tout de suite. Il me fallait du temps pour me calmer, pour me rendre compte que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'ils n'étaient plus là, que maintenant j'étais en sécurité et ne craignais plus rien. Mais je savais que ce rêve me poursuivrait jusqu'à la fin de mes jours, qu'il ne me laisserait jamais en paix. Je savais qu'ils avaient détruit mon équilibre, et ma vie
Avant leur arrivée, j'étais heureuse. Mais ils avaient également anéanti mon bonheur. Et cela, je ne le leur pardonnerais jamais. Antoine et Julie n'ont cessé de me répéter qu'il faillait essayer d'oublier, qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur. Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.


El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba aquí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y ellos estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en los oídos, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por el cansancio, sentía una angustia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañetearan, y era incapaz de contestar a sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis propios gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Me hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta de que solo era un mal sueño, de que ya no estaban aquí, ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba nada. Pero sabía que aquella pesadilla me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio y mi vida.
Antes de su llegada, yo era feliz. Pero habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no era bueno vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo podría olvidarme? Habían introducido el horror en mi existencia, hasta entonces hecha de sol y de alegría. La habían transformado en una pesadilla viva, después en desesperanza oscura, y finalmente en una monotonía apagada que siempre duraría.

Merci



Réponse : Traduction de texte en espagnol de ded4239, postée le 24-01-2020 à 11:16:03 (S | E)
Le vent de la haine.

Une fois de plus, le cauchemar était là. Je me trouvais, comme d'habitude, assise sur cette inconfortable chaise en métal, et ils étaient autour de moi. Ils me harcelaient sans répit, sans interruption, ils criaient dans mes oreilles, tapaient du poing sur le bureau, s'impatientaient. Recroquevillée sur mon siège,étourdie de fatigue, j'éprouvais une angoisse sans nom, qui peu à peu se muait en terreur. Je serrais les dents pour les empêcher de claquer, et j'étais incapable de répondre à leurs questions. Alors venait l'horrible suite, toujours la même, ils se mettaient à me frapper ; les coups pleuvaient sur moi, durs, impitoyables, et la douleur me faisait hurler.
C'étaient mes cris qui me réveillaient. Je me retrouvais chaque fois dans mon lit, haletante, en sueur, mais la terreur ne se dissipait pas tout de suite. Il me fallait du temps pour me calmer, pour me rendre compte que ce n'était qu'un mauvais rêve, qu'ils n'étaient plus là, que maintenant j'étais en sécurité et ne craignais plus rien. Mais je savais que ce rêve me poursuivrait jusqu'à la fin de mes jours, qu'il ne me laisserait jamais en paix. Je savais qu'ils avaient détruit mon équilibre, et ma vie
Avant leur arrivée, j'étais heureuse. Mais ils avaient également anéanti mon bonheur. Et cela, je ne le leur pardonnerais jamais. Antoine et Julie n'ont cessé de me répéter qu'il faillait essayer d'oublier, qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur. Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.


El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba aquí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y ellos estaban alrededor de mí. Me acosaban sin tregua, sin interrupción,me gritaban en los oídos, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por el cansancio, sentía una angustia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañetearan, y era incapaz de contestar a sus preguntas. Entonces venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis propios gritos que me despertaban. Me quedaba cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Me hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta de que solo era un mal sueño, de que ya no estaban aquí, ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba nada. Pero sabía que aquella pesadilla me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz.Sabía que habían destruido mi equilibrio y mi vida.
Antes de su llegada, yo era feliz. Pero habían igualmente destruido mi felicidad. Y eso nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no era bueno vivir con tanto odio en el corazón. ¿ Pero cómo podría olvidarme? Habían introducido el horror en mi existencia, hasta entonces hecha de sol y de alegría. La habían transformado en una pesadilla viva, después en desesperanza oscura, y finalmente en una monotonía apagada que siempre duraría.

Merci



Réponse : Traduction de texte en espagnol de andre40, postée le 24-01-2020 à 14:39:22 (S | E)
-...,qu'il n'était pas bon de vivre avec tant de haine dans le coeur cœur, ligature du "o" avec le "e". Mais comment le pourrais-je ? Ils avaient introduit l'horreur dans mon existence jusque là faite de soleil et de joie. Ils l'avaient transforlmée orthographe en un cauchemar vivant, puis en un sombre désespoir, et enfin en une terne grisaille qui durerait toujours.
-¿ Pero cómo podría olvidarme dans ce cas il faut la forme transitive, avec le pronom neutre en enclise (olvidarlo)?

Bonne après-midi.



Réponse : Traduction de texte en espagnol de leserin, postée le 24-01-2020 à 19:02:49 (S | E)
Bonsoir.

El viento del odio.

Una vez más, la pesadilla estaba aquí. Me quedaba como siempre sentada en aquella silla de metal incómoda y ellos estaban alrededor de mí (1). Me acosaban sin tregua, sin interrupción, me gritaban en los oídos, daban puñetazos sobre el escritorio, se impacientaban. Encogida en mi asiento, aturdida por el cansancio, sentía una angustia sin nombre, que poco a poco se convertía en terror. Apretaba los dientes para impedir que castañetearan, y era incapaz de contestar a sus preguntas. Entoncesvirgule venía la espantosa continuación, siempre la misma. Se ponían a golpearme, los golpes me caían encima, duros, implacables, y el dolor me hacía aullar. Eran mis propios gritos article défini que me despertaban. Me quedaba autre traduction pour "se retrouver" cada vez en mi cama, jadeante, bañada en sudor, pero el terror no se disipaba inmediatamente. Me hacía falta tiempo para tranquilizarme, para darme cuenta de que solo era un mal sueño, de que ya no estaban aquí, ahora estaba a salvo y ya no arriesgaba nada. Pero sabía que aquella pesadilla me perseguiría hasta el fin de mi vida, que no me dejaría en paz. Sabía que habían destruido mi equilibrio y mi vida.
Antes de su llegada, yo era feliz. Pero habían igualmente ne coupez pas le verbe, placez cet adverbe après "Pero" destruido mi felicidad. Y eso nunca se lo perdonaría. Antoine y Julie no han dejado de repetirme que hacía falta olvidar, que no era bueno vivir con tanto odio en el corazón. ¿Pero cómo podría olvidarme? Habían introducido el horror en mi existencia, hasta entonces hecha de sol y de alegría. La habían transformado en una pesadilla viva, después en desesperanza oscura, y finalmente en una monotonía apagadavirgule que siempre duraría.

1. C'est correct, mais c'est mieux : "a mi alrededor".
Cordialement.





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